Découverte des AB

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il y a 7 ans

Découverte des AB

Si je vous dis que je suis actuellement sur un balcon surplombant Toulouse, uniquement vêtu d'une couche pour adultes de marque Téna, vous ne me croirez pas. Et pourtant, vous aurez tort. Je suis effectivement recroquevillé derrière un par a p e t essayant de dissimuler ma relative nudité aux regards des voisins. Il faut croire que la chose n'est guère courante à voir puisque, malgré les appels effrénés de sa légitime propriétaire, un grand chat noir me fixe depuis plusieurs minutes.

Mes « pschiit » ne semblent guère l'impressionner et la sympathique grand-mère d'à côté ne cesse de répéter « mais qu'est-ce que tu as vu Gaspard ». Je l'imagine se munissant finalement d'un escabeau pour venir se rendre compte par elle-même de l'objet de la muette adoration de son chat. C'en est trop, et avec un gros « bouh » je lance ma main vers le gâteux félin... Je ne sais pas si les chats retombent sur leurs pattes mais apparemment au hurlement que pousse la vieille tandis que son animal favori décroche du 5ème étage, on peut raisonnablement en douter.

Une, deux... toutes les lumières de l'immeuble s'allument les unes après les autres.

Dieu des AB et DL, protégez vos e n f a n t s ! Et tandis que l'octogénaire n'en finit pas de hurler la chute de son chat, je constate avec frayeur que la porte-fenêtre de la terrasse où je me trouve commencer à s'entre ouvrir. C'est à cet instant précis que je regrette réellement d'avoir raté Foucault à la télé...

Chapitre 2 - Les fétichistes du cuir

Je suis un fétichiste. Le petit Robert me dit :

Fétichiste : qui pratique le fétichisme ( !) (..) Fétichisme : 1° Culte des fétiches ; religion qui comporte ce culte (...) 2° Admiration exagérée et sans réserve d'une personne ou d'une chose (...) 3° Méd. Perversion sexuelle incitant l'individu à rechercher une satisfaction sexuelle par le contact ou la vue de certains objets normalement dénués de signification érotique. (...) Etant ainsi catalogué « pervers », je me suis dit qu'il me fallait explorer mes propres pulsions pour mieux les éclairer.

J'ai donc décidé récemment de prendre un annuaire sur le Web et de descendre toutes les rubriques de « pratiques sexuelles », sous-catégorie « fétichisme ». Ma mère m'ayant appris à ne jamais dire que je n'aimais pas avant d'avoir goûté, j'ai donc entamé mon parcours initiatique, résolu de ne me rien cacher des trésors de ce monde.

J'ai ainsi entamé mon tour du sexe par le cuir. Ile me semblait que le cuir était assez commun pour trouver facilement un partenaire. Mot clef « cuir » sur AOL, astiquage des sites gratuits aux contenus finalement payants, bref j'ai poursuivi ma quête jusqu'à rencontrer M**.

Etant « bi » parce que Vogue Home le plaçait comme top tendance, j'acceptais la masculinité de M**. Il m'invita donc chez lui avec pour seule consigne d'arriver sans sous-vêtement.

Ma mère vous le dira, je suis un garçon bien élevé. J'arrivais donc à l'heure et sans culotte.

A peine avais-je sonné que la porte s'ouvrit sur une obscurité totale. Une voix m'intima l'ordre d'enlever tous mes vêtements, ce que je fis.

Je trouvais cela très excitant d'obéir sans savoir ce qu'il allait se passer. La même voix me commanda d'avancer jusqu'à ce que je rencontre un obstacle. Je crois plutôt que c'est l'obstacle qui vint à moi et me heurta durement au genou.

Sans prendre la peine de s'assurer que j'allais bien, la voix me dit d'enfiler ce qu'il y avait sur la table. Il me fallut plusieurs minutes pour définir plus ou moins la façon dont cela pouvait justement s'enfiler.

L'odeur forte du cuir ne laissait aucun soupçon sur la matière. Par contre, je ne comprenais pas bien si je tenais en mains un pantalon ou un sweat sans tête. On me l'expliqua donc avec une frappe sur les fesses qui m'arracha un cri de douleur.

C'était donc une sorte de body qui s'enfilait par le haut. Par contre le col se prolongeait en une sorte de cagoule qui couvrait entièrement la tête. De la même façon, en plongeant mes bras dans les supposées manches, je ne trouvais nulle sortie pour mes mains.

Brusquement, je sentis qu'on m'empoignait fortement et me plaquait sur la table.

Mon sexe fut saisi sans ménagement et passé apparemment à travers un trou dans la pièce de vêtement. Celle-ci fut alors sécurisée par une boucle.

Mes bras tordus furent ramenés devant mon corps, et je compris tandis qu'on tirait sur les manches que je devais être harnaché dans une sorte de camisole.

Puis mon « b o u r r e a u » m'enserra la gorge dans une sorte de collier qu'il fermât par un cadenas, au bruit métallique que j'entendis.

« - Ouvre la bouche lopette.

  • (...) » Je sentis qu'on glissait dans ma bouche une boule de caoutchouc qui fut solidement attachée derrière mon crâne.

Puis une main se saisit de mon pied gauche pour le mettre dans une chaussure qui fut lacée jusqu'à mi-jambe. Il fit de même avec mon pied droit puis... rien. Je restais ainsi plusieurs minutes, commençant à transpirer sous le masque de cuir. Au bout de quelques instants, il me sembla deviner qu'on avait allumé une lumière. Je fus subitement tiré en avant comme si j'étais en laisse et, perdant l'équilibre, je me retrouvais affalé sur la table. D'autres mains se saisirent de mes jambes et au même moment je sentis un objet humide me chatouiller l'anus.

C'était comme si un doigt essayait de rentrer dans mes fesses. Je résistais, la sensation cessât mais je reçus trois coups très forts sur le postérieur. Je hurlais de douleur mais le bâillon empêchait les sons de sortir de ma bouche.

Je devins donc docile et laissait l'objet étranger me pénétrer. D'abord, je ressentis comme une douleur tandis qu'il me semblait que jamais cette sorte de doigt n'arrêterait de fouiller mes entrailles. Finalement la douleur cessa et l'objet trouva un statu quo avec mon anus. Pour aider à cette conciliation une main commença à me caresser le gland en faisant doucement vibrer l'objet serré entre mes fesses. Immédiatement mon sexe durcit et je commençais à accompagner ce mouvement de va-et-vient.

Il faut croire que mes geôliers n'apprécièrent pas que j'y prenne trop de plaisir car ils me tirèrent en arrière et me forcèrent à m'agenouiller. La boule qui m'obstruait la bouche fut enlevée et ma tête fut poussée en avant. A la seule odeur, je devinais que je devais avoir en face de moi un autre sexe qui a priori n'était pas le mien. A posteriori non plus du reste tandis qu'il se frayait un chemin entre mes lèvres.

« - Suce. » Ayant là aussi appris à ne pas parler la couche pleine, je me suis donc exécuté. La fellation n'est pas vraiment ce que je préfère, certainement parce que mes expériences antérieures étaient à 99% avec des femmes. Quoi qu'il en soit, j'ai continué à m'appliquer tandis qu'une main anonyme s'était ressaisi du gode et lui appliquait des mouvements régulier en avant puis en arrière. C'était un mélange délicieux de plaisir et de souffrance tandis que les deux rythmes s'accéléraient et que le gars finisse par me jouir dans la bouche.

Ce résultat obtenu, il m'appliqua de nouveau le bâillon, je fus redressé, plaqué contre le mur et mes membres furent attachés me donnant la silhouette d'un grand X. Je restais là de nombreuses minutes, les fesses maintenant en feu. J'eu beau gémir, personne ne semblait s'y intéresser. Plusieurs portes claquèrent avant que je sente une présence pratiquement collée à mon corps. Une main parcourut mon torse jusque au bas ventre, puis elle se retira. Ensuite je sentis le contact humide d'une langue qui remontait ma cuisse. Cela chatouillait en même temps que ça m'excitait terriblement. La langue toucha mon sexe, en petits coups rapides le mit au supplice puis s'éclipsa. Je sentis alors qu'on m'enfilait sur la verge une sorte d'étui, comme du caoutchouc d'un contact rugueux qui enserra aussi mes couilles. Ensuite, je ressentis comme un faible courant électrique qui parcourut mon sexe. Je me cabrais, bandant les muscles, essayant de me défaire de mes liens et finalement toute ma f o r c e se concentra sur une éjaculation que j'espérais époustouflante.

« - Tu vois, c'est rien. » C'était une voix féminine, indubitablement féminine. Au même moment, on me détacha et je m'effondrais sur le sol. A quatre pattes, à moitié étourdi, je sentis qu'on me défaisait le bâillon qui m'entravait tandis que d'un coup sec on tira sur l'objet enfiché dans mes fesses.

« - Waaah.

  • Chut (voix féminine) ...

  • Ta gueule (voix masculine) !

  • Tu as été très gentil. Comment ça va le petit trou du cul ?

(Rires) - J'ai... j'ai besoin d'aller aux... WC.

  • Je sais, je sais... J'ai mieux pour toi. » Et je fus saisi et jeté sur une table. J'entendis les s a n g les du body qui étaient défaites et le vêtement remonté jusqu'à mon ventre.

« - Tu seras beaucoup mieux avec cela et ça te fera un souvenir. » Quelque chose de doux fut poussé sous mes fesses et c'est lorsque ce fut remonté sur mon sexe dégonflé et que compris que ce devait être une sorte de lange. Une pression des deux côtés de mon ventre m'amena à penser qu'on avait du fixer la couche d'une façon ou une autre.

Je fus mis debout sans plus de ménagement, ne pouvant serrer mes cuisses avec l'épaisseur du lange. J'entendis qu'on prenait des photos. Des paires de main délassèrent les chaussures que je portais. Une fois ôtées, on souleva mes deux pieds et je sentis un contact tiède d'une chose qui glissait de mes chevilles, à mes mollets puis entoura la couche.

« - Ca c'est une grosse culotte imperméable en caoutchouc pour que tu n'aies pas de fuite...

(...) - Tu nous excuseras s si on t'a pris quelques euros dans ton portefeuille. Vu que tu garderas la couche, il est normal que tu la payes.

  • Mais...

  • Chut, si tu veux pas partir simplement avec en couche-culotte. »

Donc je me tus. Le vêtement de cuir me fut retiré. Mais on avait du éteindre les lumières car je me retrouvais dans l'obscurité. Une main me tendit des vêtements que je supposais êtres les miens. Je dus tirer de toutes mes énergies sur mon pantalon afin de pouvoir rentrer dedans mon postérieur « légèrement » alourdi et soudain, je fus propulsé hors de la pièce, me retrouvant dans la rue, face à une porte sans inscription. Je retrouvais ma montre dans mon blouson, il était 23h15. Je commençais à remonter la rue, avec des allures de canard ivre et accompagné d'un bruissement qui trahissait la teneur de mes sous-vêtements. Dans la voiture, je fus pris de crampes et avec honte mais soulagement, je m'abandonnais dans les couches. L'odeur était terrible et je roulais jusque chez moi les fenêtres ouvertes.

A peine rentré dans mon appartement, je m'étais débarrassé immédiatement de la couche salie, jetant par la même occasion la culotte en latex noire.

Je décidais d'un commun accord avec les différentes parties de mon anatomie de m'accorder une trêve de deus semaines avant de poursuivre mes recherches.

Cette histoire de couches m'avait interpellé. Grâce au Web, je découvris la vénérable communauté des DL, qui gazouillaient toute la journée en parlant des mérites comparés des Molicare ou des Téna.

Ma faible expérience me rendait maladroit dans mon approche et on subodora que j'étais soit un s... de pédophile soit un agent de la DST. J'eus beau prêter allégeance au clan des Orlys, il me fallut changer de pseudo. Ma deuxième tentative me permis de découvrir les AB. D'un site américain baptisé DPF.

il me fallut quelque temps pour éviter dans les forums les disputes sur l'orthographe et autres pugilats mais finalement je réussis à nouer le contact avec plusieurs membres sympathiques.

Leur ayant expliqué que je voulais découvrir l'univers AB, l'un d'entre eux me proposa de participer à une rencontre chez lui la semaine d'après. Nous devions être quatre, et après vérification, aucun n'était mordu de cuir, un seul était homosexuel et tous ne voulaient être en couche que pour « passer du bon temps ».

On ne me demanda pas d'amener quoi que ce soit, j'arrivais donc les mains vides au 23 de la rue S** R** à Toulouse, 3ème étage. Je sonnais et un homme souriant d'une quarantaine d'années m'invita à entrer. Il était vêtu d'une salopette marron qui cachait à peine les formes volumineuses de son postérieur.

Les autres étaient déjà là, installés dans le salon. A** me présenta d'abord à M** qui portait une barboteuse en PVC rouge transparent, une tétine aux lèvres et une casquette vissée sur la tête. Il devait avoir une trentaine d'année. Je remarquais que sous sa barboteuse une couche d'un modèle imposant montrait tous les signes de la plus extrême humidité. Ensuite T** s'introduit en me donnant un biberon empli d'un liquide qui ressemblait à du lait. T** avait aux alentours de trente ans lui aussi. Il avait des cheveux blonds coupés très courts et des oreilles percées de différents anneaux. Il portait un tee-shirt au motif infantile trop petit pour lui qui laissait dépasser une culotte de plastique bleu de son short résolument trop court.

Brusquement, je me sentis un peu idiot dans ma tenue « normale ».

« - Désolé, c'est la première fois.

  • Don't worry guy, mets toi à l'aise.

  • Une couche ? (mon hôte) - Pardon ? (au cas où j'aurais mal compris la marque de Whisky) - Je te propose de te changer. Si tu veux...

  • Ok ! » Ils sont tous les trois à me sourire comme les Rois Mages devant le Sauveur. Je ne peux donc pas les décevoir et je commence à me déshabiller.

A** me prit par la main et me conduisit dans une pièce qui avait des allures de nursery géante. Le papier peint était bleu avec des oursons endormis dans des nuages dorés. Le sol était recouvert d'une moquette blanche épaisse. Le reste de la chambre était meublé d'une commode recouverte de couches et de produits pour bébés, d'un lit à barreaux de taille adulte et d'une table avec un matelas plastifié dessus.

C'est là que je fus couché tout déshabillé. D'abord A** me passa un lait de toilette sur les fesses et le sexe. Immédiatement ce dernier se mit au garde à vous mais personne ne releva ma gêne. Après M** amena une couche épaisse faite en tissu qu'il me glissa sous les fesses.

A** m'aspergea de talc et referma les boutons pressions. M** s'était déjà muni d'une culotte du même plastique que sa barboteuse.

« - Lève les jambes (...) cool, impeccable. » Je bandais toujours et surtout je me sentais un peu ridicule langé face à trois adultes qui semblaient être aux anges.

Ensuite T** dit :

« - C'est moi qui choisit tes vêtements ; d'accord ?

  • Ok (preuve que j'ai de la conversation). » T** sortit donc de la commode un tee-shirt Pikachu et une salopette en jean qui avait du connaître des jours meilleurs. Ce n'est qu'en l'ayant mise, que je me rendis compte que l'usure du tissu était astucieusement travaillée pour ne rien cacher des couches (inférieures).

Mon habillage fut complété par une tétine, qui, fourrée dans ma bouche, ne me donna pas l'occasion de remercier mes nouveaux amis pour leur accueil.

Ensuite, nous allâmes nous installer au salon pour une pause biberon qui donnât l'occasion à chacun de se présenter.

Plus tard, M** remarqua « qu'il faisait faim ». A** se tourna vers moi :

« - Nous avons un jeu très simple pour désigner celui qui va chercher les pizzas, nous mettons nos noms dans une boîte et celui qui est tiré au sort doit y allé. tu es d'accord ?

  • Ok. (ayant toujours une grande conversation) » Je ne sais pas pourquoi mais je pense que mon nom devait être inscrit quatre fois dans la boîte. De plus, je soupçonne que « mes amis » s'étaient arrangés pour me mettre à l'aise en m'invitant à mouiller mes couches à dessein.

A** se tourna vers moi :

« - Le meilleur moyen de dissimuler le volume et le bruit des couches (surtout du machin en PVC rouge qui crisse au moindre mouvement) est de porter un ciré...

  • Mais il ne pleut pas !

  • Oui, mais à toi de voir. »

Un autre fétiche à rajouter à la liste. La garde-robe d'A** comptait une dizaine de cirés différents. T** m'en choisit un rouge et bleu de marque HH. Je laissais l'imperméable entre ouvert et descendit chercher la pizza. Je veux bien croire que le plastique du ciré puisse induire en erreur les badauds mais il faut aussi qu'ils aient oublié leur sonotone à la maison ! Heureusement, le pizzaïolo était en extérieur. Je profitais donc du bruit de la circulation pour masquer le bruit de la culotte plastique. De plus, l'urine avait alourdi la couche pesant sur la salopette.

Un regard dans le miroir de la pharmacie de l'angle me permit de remarquer que le ciré ne couvrait pas complètement les déchirures du pantalon qui laissait ainsi apparaître un petit morceau de la culotte plastique vif. Serrant les cuisses malgré l'inconfort de la couche humide, j'attendis mes quatre pizzas stoïquement. Je surpris quelques visages amusés et des sourires à peine dissimulés mais je faisais semblant de ne pas les voir. Mon coeur battait très fort et je me dépêchais de payer pour les massacres de pain à la tomate afin de pouvoir rentrer au plus vite.

Arrivé devant la porte d'entrée, je me rendis compte que j'avais oublié le code ! Heureusement, une vieille dame arriva. Me voyant encombré, elle crut que je ne pouvais simplement pas ouvrir la porte. Suite aux politesses, je me retrouvais donc à gravir l'escalier dans un grand bruit de plastique torturé, la dite dame sur mes talons.

« - Vous savez il en existe des plus discrètes.

  • (...) - Bonne journée. » Je crois que j'ai vraiment détesté les pizzas à partir de ce jour là.

(...) Les pizzas avalées, il a fallu penser à changer nos couches. T** s'est offert pour s'occuper de moi. A la place de la couche en tissu, il m'a mis une Téna « for the night » m'a t-il dit puis a sorti d'un sac un pyjama d'une pièce couleur crème.

Je lui ai ensuite rendu la politesse. En découvrant son change, je me rendis compte qu'il n'avait pas fait que le mouiller.

« - J'aime bien m'abandonner totalement dans mes couches.

  • Et... euh.. pour l'odeur ?

  • C'est le côté chiant (ça mon gars, tu peux le dire) mais on peut arranger cela facilement. Je t'expliquerai. » Sous ses consignes, j'appris donc à nettoyer puis préparer la peau pour une nouvelle couche. T** aussi bandait, il me sourit ; ce n'était pas une proposition simplement un moment de plaisir qu'il souhaitait partager avec moi.

Je glissais donc sous lui une autre Téna et y mis une couche droite. Par dessus, A** m'invita à lui passer une culotte en plastique rose pâle qui se boutonnait sur les côtés.

« - Comme il t'a donné son pyjama, il est normal que je lui trouve autre chose. » Et il me tendit une sorte de chemise de nuit, résolument féminine, mélangeant coton et satin. T** rougit devant l'outrage mais se laissa habiller. La chemise de nuit ne couvrait qu'à peine ses fesses rembourrées.

A** lui enfila ensuite des mitaines qu'il serra aux poignets par deux lanières avant de mettre sur la tête de T** une sorte de bonnet, qui attaché au menton lui donnait des airs de petit poupon. Pour compléter l'habillage, A** glissa une tétine de dimension imposante dans la bouche de T**, tétine qu'il sécurisa au bonnet à l'aide de deux liens élastiques. J'étais assez surpris, amusé peut-être ravi de cette scène. Indiscutablement, cela excitait ma libido. T** toujours rougissant se leva pour suivre A** dans le salon. Tout le monde était maintenant réuni assis, ou plutôt avachis sur les deux divans. M** proposa une sorte de jeu qui tenait au cadavre exquis. D'une histoire commencée, il fallait la poursuivre en assurant la cohérence et en assurant qu'elle serait terminée en deux tours.

Les gages pour les perdants tournaient inévitablement autour des couches, de devoir uriner à l'instant ou de boire un biberon supplémentaire. Pendant presque une heure, chacun inventa les gages les plus stupides pour embarrasser les perdants. Finalement, je réussis à dépasser le stade du « ok » dans la conversation et me plut au jeu. A une heure du matin, il fallut partir. T** me proposa de continuer la conversation en tout bien tout honneur pour me parler davantage des AB. Car en fait, malgré ce moment sympathique passé entre « amis », je ne voyais pas ce que je pourrais glaner comme expérience pour ma grande encyclopédie du fétichisme.

A 1h30, je me retrouvais donc dans le salon de T**.

Pour être plus à l'aise, il m'invita à ne rester en couche.

« - T'inquiète pas, il n'y aura pas de sexe imposé (rire). Moi-même, je suis souvent en couche lorsque je suis seul à l'appart'. » Je me retrouvais donc en Téna.

C'est à 2h15 précise que la sonnette de l'entrée nous fit sursauter.

« - m e r d e , ma copine ! » Comme dirait nos éminents journalistes de France 3 « et là, c'est le drame ». Il fallut donc me cacher en catastrophe. Les fringues restées dans la salle de bains y restèrent et moi qui étais dans le salon, je passais sur le balcon !

Quant à la suite, je pense que vous la connaissez...

Foxxy

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